En entrant, la première chose que l'on remarquait, c'est que ces lieux n'étaient pas des plus fréquentés : un odeur de renfermé et de rare toile d'araignée confirmaient la chose.
Après un coup d'oeil circonspect, Nilancen referma la porte, dont il bloqua adroitement la poignée pour se prémunir d’une entré intempestive.
Il fini d’ôter ses vêtement avant de s’approcher des douches présentent sur chaque mur.
Si quelqu’un l’avait vu sans savoir sa nature de mort vivant, il aurait eut un sacré choc : tout le bas de sont corps, depuis son nombril, et ses deux bras ne correspondaient pas au tronc, ni part la morphologie, ni par la teinte de la peau... d’ailleurs, les membres en question ne semblaient pas non plus provenir d’un seul individu, et un grand nombre de cicatrice, les sillonnaient.
Nialcen prit sa douche en sifflotant, se nettoyant avec vigueur a l’aide du pain de savon noir présent dans les douche, pain qui n’avait jamais connu l’eau soit dit en passant.
Une fois que la couleur de l’eau permis de nouveau de voir clairement le dallage du sol, Nialcen entreprit de nettoyer de la même façon ses vêtements, dont l’odeur n’évoqué rien de connu, et surtout rien de sain.
Une fois propre et sa lingerie nettoyé, Nialcen s’assit en tailleur sous l’eau bouillante qui ruisselait de la douche et qui emplissait la pièce de vapeur, fit craquer son dos et ses bras, et ne bougea plus, aussi immobile qu’un ... mort.